La notion de temps dans la bible

 -> La relativité du temps et l’allégorie biblique de la création du monde en 6 jours

Les découvertes archéologiques les plus récentes nous présentent le genre humain comme vieux de 2,8 millions d’années. Or, si nous comparons les indications temporelles de la Genèse avec notre calendrier actuel, nous pourrions croire qu’il y’a contradiction. En effet, d’Adam à Noé, nous comptons moins de deux-mille ans selon la bible (cf Genèse 5). Cependant, vous verrez dans notre article sur l’âge véritable de l’Homme, que les méthodes de datations dont les scientifiques disposent actuellement, comme la datation par le carbone 14 ou par le potassium-argon, sont très imprécises et limitées.

En outre, n’oublions pas que la bible nous dit ceci dans 2 Pierre 3:8 « Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. » Ce même rapport temporel est évoqué plusieurs fois dans la bible, et même par David dans les psaumes (cf. psaume 90:4 « Car mille ans, à tes yeux, sont comme le jour d’hier qui est déjà passé, comme une seule veille au milieu de la nuit »).

De ce rapport temporel, nous pourrions affirmer que le monde n’a pas été créé par Dieu en 6 jours et 6 nuits, mais en douze mille ans (six mille ans pour 6 jours et six mille ans pour 6 nuits), sur la base de notre calendrier actuel. Le septième jour ne se résumerait donc plus à un seul jour de la semaine ou au sabbat. Vous trouverez développé ici l’explication de l’allégorie du septième jour.

Ce rapport temporel nous explique donc que l’homme, créé le sixième jour, est le plus jeune de la création, plus jeune que de nombreux animaux, que la végétation…. Partant de là, il est donc tout à fait compréhensible et possible que l’homme n’ait pas cohabité avec certains animaux comme les dinosaures par exemple.

Pour aller plus loin dans la définition du temps, le célèbre savant Albert Einstein a démontré à l’aide d’équations mathématiques que le temps est relatif car fonction de l’espace et de l’observateur. C’est la « Théorie de la relativité » énoncée comme suit « Les équations de Maxwell, tout comme les résultats expérimentaux, indiquaient que la lumière se propage, dans tout référentiel, toujours à la même vitesse c ; or cette circonstance est en contradiction avec la mécanique rationnelle galiléenne, puisqu’elle viole de manière flagrante l’une des lois essentielles de cette mécanique, la loi de composition des vitesses qui interdit à toute vitesse d’être un invariant. (…) Einstein prend acte de l’invariance de la vitesse de la lumière dans le vide qu’il interprète désormais comme la constante universelle traduisant l’impossibilité d’interaction instantanée à distance et il réadapte l’ensemble de la mécanique rationnelle à la prise en compte de cette contrainte (…) Einstein fait valoir en effet que si l’on tient compte du temps que met la lumière à se propager, il est impossible de décider de manière absolue de la simultanéité de deux événements spatialement séparés, alors que la simultanéité était une notion absolue en mécanique rationnelle galiléenne et newtonienne. (…) Le temps lui-même perd le caractère absolu qu’il avait dans l’ancienne mécanique rationnelle. (…) Einstein a pu quelques années plus tard élaborer une nouvelle théorie de la gravitation universelle, la relativité générale, selon laquelle le champ gravitationnel est relié aux propriétés géométriques de l’espace-temps.» Article « Le réel, à l’horizon de la dialectique » de Gilles Cohen-Tannoudji, Extraits de « Sciences et dialectiques de la nature » (ouvrage collectif – La Dispute)

Einstein démontre ainsi que la vitesse de propagation de la lumière est variable en fonction de la nature de l’espace qu’elle traverse, contrairement aux théories Newtoniennes et galiléenne. En effet, la lumière n’aura pas la même vitesse selon qu’elle traverse un verre, ou un nuage par exemple. Le seul endroit où la vitesse de la lumière est invariable, c’est dans le vide. Etant entendu donc que la vitesse de la lumière est variable dans notre environnement, la parfaite simultanéité de deux événement séparés dans l’espace est donc impossible, car la simultanéité est un phénomène absolu en mécanique, tandis que le temps lui n’est pas absolu mais relatif. Il fait l’expérience d’une horloge qui semble fonctionner plus ou moins lentement suivant la position de l’observateur.

Sans aller loin dans le domaine mathématique d’Einstein, nous pouvons, sur la base d’événements remarquables par tous, également affirmer que la relativité du temps par rapport à l’espace et à l’observateur se vérifie parfaitement:

-> Sur le globe terrestre, les journées peuvent aller de quelques heures à 6 mois suivant les régions où l’on se trouve sur la terre. En effet, près des pôles, il fait jours six mois, et nuit six mois, les crépuscules et les aurores durant plusieurs semaines. Dans ce contexte, l’idée même du jour biblique symbolisé par un soir et et matin n’a pas la même valeur suivant la région de la terre où on se trouve. Dans les régions polaires, les animaux hibernent pendant 6 mois, comme si leur organisme considérait ces 6 mois de nuit comme une seule nuit. Ainsi dorment-ils de manière ininterrompue pendant 6 mois, leur métabolisme se mettant au ralenti pour s’adapter à ce rythme solaire.

-> Nous constatons aussi que sur la terre, il ne fait pas nuit partout au même moment: pendant qu’il fait jour sur une partie, il fait nuit sur une autre, l’heure variant en fonction du fuseau horaire. Les fêtes ne sont donc pas fêtées simultanément sur la terre.

->De plus, les calendriers varient aujourd’hui encore, selon qu’on soit perse, chinois ou d’occident, avec une fête du nouvel an toute aussi variable que diverse. Ceci s’explique par le fait que la problématique de la mesure du temps s’est posée à l’homme dès qu’il a eu besoin d’organiser la vie sociale, économique ou religieuse de la société dans laquelle il vivait. Il s’est donc servi des phénomènes périodiques du milieu où il vivait, comme le déplacement quotidien de l’ombre, le retour des saisons, les cycles lunaires ou astrologiques, etc… pour organiser son activité.

En conclusion, quand bien même deux personnes distinctes parleraient de la même unité de temps (jour, an etc…), celle-ci n’aurait pas la même valeur, en fonction de sa culture, ou de la situation géographique où elle se trouve.

Par ailleurs, la bible complique encore les choses en nous présentant un autre rapport temporel:

Nombres 14:32-34: « Quant à vous, vos cadavres tomberont dans le désert où vos fils seront nomades pendant quarante ans. Ils supporteront ainsi les conséquences de votre infidélité à mon égard jusqu’à ce que le désert ait englouti tous vos cadavres. Vous avez mis quarante jours à reconnaître le pays, eh bien, vous porterez les conséquences de vos fautes durant quarante ans : une année pour chaque jour. Ainsi vous saurez ce qu’il en coûte de m’abandonner ! »

Nous voyons ici l’Éternel convertir un jour en un an, à cause de la méchanceté et de la désobéissance de son peuple. Au lieu de 40 jours de restauration et d’édification dans le désert, le peuple d’Israël s’y verra passer 40 ans. Sa désobéissance a donc poussé l’Éternel à modifier la durée du temps. Cependant, le nombre de temps prévu dans le désert reste le même, 40 temps, seule l’unité du temps est passée du jour à l’année: 40 jours qui deviennent 40 ans.

-> En outre, Matthieu 24 :36-41 dit ceci: « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul. Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous: il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l’un sera pris et l’autre laissé; de deux femmes qui moudront à la meule, l’une sera prise et l’autre laissée. »

->Acte 1:3-7: « Après qu’il eut souffert, il leur apparut vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu… Alors les apôtres réunis lui demandèrent: Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d’Israël? Il leur répondit: Ce n’est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité. »

Des passages ci-dessus, Jésus nous rappelle clairement que seul Dieu le Père a la clé du temps, lui seul connait le moment, et ce moment est relatif, dépendant de nos actes et de notre comportement. Nous avons juste des signes pour savoir qu’un événement arrive bientôt ou pas. Mais ici encore, ce « bientôt » est relatif.

 

En somme, il est clair que le temps, défini comme le nous connaissons, est une réalité complexe, variable, qui n’a pas de valeur absolue. Il est fonction d’une multitude de paramètres et variable suivant l’espace concerné.

Nous avons des indications sur cet aspect variable du temps dans Apocalypse 12 :14 « elle est nourrie un temps, des temps et la moitié d’un temps  » où Jean ne parle ni d’année, ni de jour, ni de semaine, ni de mois, mais simplement du temps comme unité propre. Le passage ne nous dit pas que la mère du Christ est nourrie un an ou un jour, mais un temps, des temps et la moitié d’un temps. Dans ce contexte, le temps est considéré en lui-même comme une unité absolue, impliquant que tout le reste (jour, mois, années…) n’est que variable suivant l’espace.

De ce fait, il serait donc présomptueux de prétendre connaitre le jour exact de tel ou tel événement dans le monde, sauf si on a reçu la clé du temps de la part de l’Éternel, sachant que le Christ lui-même ne l’a pas eue, à plus forte raison nous. Une fois que vous comprenez cela, vous comprenez également pourquoi les prophéties avec des dates exactes ne sont pas à prendre au premier degré.

Enfin, au regard de tout ce qui précède, il est maintenant évident que nous ne pouvons pas comparer les six jours bibliques de la création du monde à des jours calendaires occidentaux, ces jours seraient plutôt comparables à des millénaires ou des millions d’années, et ce serait d’ailleurs plus en accord avec la théorie scientifique du Big bang qui nous décrit la terre comme créée sur plusieurs millions d’années, et par étapes, les êtres vivants étant nés après la terre, les astres et l’eau, et l’homme étant l’une des plus jeunes créatures de la terre. En effet, lorsque Dieu ordonne, pour que cela se crée, il faut que les différentes lois physiques se mettent en action afin que la chose se réalise, dans un temps précis connu par Dieu, et pas forcément des hommes. Il a fallu la mise en place de lois cosmiques pour que la terre se fasse après que Dieu l’ait ordonné. En outre, afin que nous puissions avoir le maximum d’informations, l’Eternel les a compressé dans un livre codé, dont seuls les initiés peuvent en avoir les révélations : la bible. Nous entendons ici par initiés ceux qui ont accepté d’obéir à Dieu et que Dieu enseigne et utilise pour la manifestation de sa propre gloire. C’est un principe similaire que les informaticiens utilisent pour condenser les informations en occupant le minimum d’espace : le disque dur ou la carte mémoire. Lorsqu’on comprend cela, on comprend pourquoi il faut être patient lorsqu’on marche avec Dieu. N’oublions pas que les choses qui arrivent rapidement sont souvent moins stables que celles qui ont pris le temps nécessaire pour être faites. Alors, vous chrétiens qui voulez marcher avec Dieu, demandez-lui de développer en vous la patience, car elle vous évitera de passer à côté de votre destinée. 

Au regard de ce qui précède, il est donc clair que la théorie du big bang et l’échelle géologique des temps est tout à fait en accord avec le livre de la genèse.

->L’ETERNEL, le seul maître du temps

Daniel 7:9-11: « Je regardai, pendant que l’on plaçait des trônes. Et l’ancien des jours s’assit. Son vêtement était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête étaient comme de la laine pure; son trône était comme des flammes de feu, et les roues comme un feu ardent. 10 Un fleuve de feu coulait et sortait de devant lui. Mille milliers le servaient, et dix mille millions se tenaient en sa présence. Les juges s’assirent, et les livres furent ouverts.« 

La bible nous présente ici Dieu comme étant « l’ancien des jours« , certaines versions diront « le vieillard âgé de quelques jours » ou encore « le vieillard âgé de nombreux jours« . Mais quelle que soit son appellation suivant les traductions, l’idée est que ce vieillard qui n’est autre que le créateur, est le Maître du temps, et cela se remarque déjà à son apparence troublante et paradoxale: un vieillard dont on compte l’âge en jours. De plus, il est assisté de juges qui consultent les livres de nos vies. Ceci signifie qu’il enregistre tout et n’oublie rien jusqu’au jour du jugement dernier. Il grave tous nos actes dans des livres que les juges consulteront le moment venu.

En outre, il est le seul maître du temps, Jésus Christ lui-même, Fils de Dieu, Agneau immolé n’en a aucune maîtrise: Matthieu 24: 36-37 « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul. »

Or les deux personnes que sont Dieu le Père et Dieu le Fils sont bien distinctes dans la vision de Daniel (cf. Daniel 7: 13 « Je regardai pendant mes visions nocturnes, et voici, sur les nuées des cieux arriva quelqu’un de semblable à un fils de l’homme; il s’avança vers l’ancien des jours, et on le fit approcher de lui. »).

Alors vous me direz « Si Jésus Christ n’a pas la maîtrise du temps de Dieu le père, il n’est pas Dieu! »

Et bien non, Dieu le Père lui a confié autorité sur toute chose, y compris le pouvoir de décider si nous entrerons au Royaume ou pas. Il est le bon berger, le seul à pouvoir nous montrer le chemin de la vie, car il a versé son divin sang pour le salut de notre âme, devenant ainsi l’agneau parfait pour nous:

->Apocalypse 1 v 18: « Je détiens les clés de la mort et du séjour des morts. Je suis le Saint, le Véritable, celui qui ouvre et nul ne peut fermer, qui ferme, et nul ne peut ouvrir. »

-> Apocalypse 7 :17 « Car l’agneau qui est au milieu du trône les paîtra et les conduira aux sources des eaux de la vie, et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux. »

Accepter Dieu et renier Christ, c’est donc renier ce divin sacrifice, et refuser de se soumettre à l’autorité que le Père a confiée au Fils. Autrement dit, renier le fils à qui le père a donné toute autorité, c’est refuser de reconnaître la décision du Père, et donc renier le Père.

Jésus Christ dit dans Luc 12: 9 « mais celui qui me reniera devant les hommes sera renié devant les anges de Dieu. »

En somme, ne vous leurrez par, si vous acceptez Dieu le Père et refusez le Fils, il est clair qu’il vous sera refusé l’entrée du Royaume des cieux.

Au regard des révélations ci-dessus sur le pouvoir de Dieu, nous comprenons mieux pourquoi le Créateur est omnipotent, omniprésent et omniscient

-Omnipotent car il est Maître de la Parole créatrice, tout ce qu’il dit se réalise par la mise en place de lois physiques que lui seul maîtrise. Quand il ordonne, cela s’accomplit, quel que soit le temps que ça prend.

-Omniprésent car il est Esprit, et ne peut se confiner à un espace. Il est donc aussi Maître de l’espace.

1 Rois 8:27: « Mais quoi! Dieu habiterait-il véritablement sur la terre? Voici, les cieux et les cieux des cieux ne peuvent te contenir: combien moins cette maison que je t’ai bâtie! »

-Omniscient parce qu’il maîtrise le temps, n’oublie rien et sait tout. Il peut rallonger, raccourcir, compresser, décompresser les informations dans le temps à sa guise. Il était, il est et il sera. Il maîtrise le passé, le présent et le futur. Il s’appelle « l’Eternel », simplement parce qu’il est intemporel.

Alors vous me direz: « quel paradoxe, s’il connait le futur, alors tout est joué d’avance, il sait donc par avance que nous allons pécher! »

Et bien vous n’y êtes pas du tout. Il nous connait, il sait que nous sommes loin d’être parfait, mais il nous aime, et voudrait que nous habitions les lieux très saints avec lui. Pour cela, il doit nous enseigner, comme un parent enseigne son enfant. Il ne s’impose pas dans nos vies, il se laisse trouver par ceux qui le cherchent, parce qu’il nous a créé libre (vous treverez développé ici les thème de la liberté et de l’amour selon Dieu). Mais il renie ceux qui le renient. Le secret pour se rapprocher de lui, c’est l’humilité. L’humilité dispose notre cœur à le chercher, reconnaissant que nous ne sommes rien face à lui. Mais si nous sommes orgueilleux, si nous pensons que nous nous suffisons, si nous pensons qu’il n’existe pas, alors, il nous abandonne comme nous l’abandonnons. Les orgueilleux sont des êtres psychiques qui trouvent une explication intellectuelle et rationnelle à tout ce qui se passe autour d’eux. Cela met une barrière entre Dieu et eux. Les humbles par contre reconnaissent que pour avoir créé un monde aussi complexe, il faut un excellent horloger. Le philosophe Voltaire avait tout compris en disant « L’univers m’embarrasse, et je ne puis songer – Que cette horloge existe et n’ait point d’horloger ».

En somme, nous sommes libres de suivre l’Eternel, et de le laisser nous enseigner et façonner pour ne pas périr et avoir la vie éternelle, ou de ne pas le suivre, et de se croire suffisant. Mais pourquoi se croire suffisant alors qu’il est démontré scientifiquement que l’Homme n’utilise qu’un infime pourcentage de son intelligence? Pourquoi refuser la thèse d’un Esprit supérieur qui nous aurait créé et qui nous aiderait à utiliser toutes ces capacités si on se tourne sincèrement vers lui?

Certaines personnes, sous le prétexte du « rationnel » refusent l’existence de Dieu ou du Christ; d’autres vont voir des marabouts, des voyants ou des médiums à la première difficulté, au lieu de se tourner vers leur véritable Père: le Dieu trois fois saint.

D’autres encore préfèrent croire à la théorie de la réincarnation, pensant qu’après la mort, l’homme revient se réincarner dans d’autres êtres. Ils préfèrent croire à cela, plutôt que de croire à la force créatrice de l’Eternel, ne voyant pas que cette théorie trouve toute sa contradiction dans le fait que la population mondiale grandit de manière exponentielle. Cette théorie de la réincarnation explique-t-elle comment les premiers hommes (pas encore réincarnés) ont-ils été créés? Et d’où viennent les nouvelles âmes, puisque la population mondiale est en croissance perpétuelle?

Alors si vous connaissez dans votre entourage des personnes qui vous sortent ce type d’argument, demandez-leur simplement si leurs marabouts ou leurs médiums sont plus puissants que Jésus Christ de Nazareth, le seul homme sur terre dont le tombeau est resté vide et dont le corps a vaincu la mort. Certains diront de lui que ce n’est qu’un prophète ou un initié mystique. Alors demandez-leur lequel des prophètes ou des mystiques a vaincu la mort comme Christ. Demandez-leur lequel d’entre eux a livré sa vie par amour pour les hommes? Demandez-leur lequel de ces prophètes a béni ses bourreaux pendant son horrible supplice? Demandez-leur ce qu’ils ont à perdre à suivre un tel homme, et à recevoir un tel amour?

Demandez-leur qu’est ce qui est plus ridicule:

– croire que Jésus Christ a vaincu la mort pour nous donner la vie éternelle

– ou croire qu’après la mort du corps, c’est le néant et la fin? / ou encore croire que les morts, s’ils ne se sont pas réincarnés, veillent sur nous, eux, qui de leur vivant n’ont pas pu veiller sur leur propre vie? Il est vrai que cette idée du défunt qui reste près de nous nous libère de la tristesse causée par la perte de l’être cher, mais, avec un peu de discernement, nous comprendrons que le véritable réconfort se trouve en Jésus Christ, car comment un être mort peut-il concrètement veiller sur un vivant? Seul un Dieu vivant, un Dieu qui a vaincu la mort peut veiller sur des vivants!

Dieu tend sa main à chacun de nous, il nous parle, à nous de l’écouter. Qu’avons-nous à perdre à le faire? Quand bien même le diable soufflerait à votre oreille que vous vous trompez, que Dieu n’existe pas, alors répondez-lui que vous n’avez rien à perdre à le chercher. Au pire des cas, si vous êtes dans l’erreur, vous ne le trouverez pas, qu’aurez-vous perdu à avoir essayé ? Mais nous vous garantissons que si vous décidez de le chercher vraiment du fond de votre cœur, il se montrera à vous.

 

Nous, Serviteurs de l’Eternel, témoins de sa puissance par son Esprit, nous vous affirmons que nous n’aurions jamais imaginé un jour être capable de faire des recherches aussi poussées sur la vérité et la science comme nous le faisons aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle nous rendons grâce au – Saint Esprit qui nous enseigne nuit et jours, nous aidant dans le travail de recherche qu’il nous a confié- et à notre Seigneur Jésus Christ qui veille sur nous dans ces moments de durs combats pour la découverte de la Vérité.

Nous prions pour que l’Esprit de Dieu se répande également sur vous afin que vous puissiez sentir son existence et croire en lui. Si vous avez lu cet article et souhaitez du fond de votre cœur découvrir la vérité, fermez-les yeux une minute, et demandez-lui de vous envahir pour vous prouver son existence. Vous ressentirez une chaleur et des frissons. C’est lui, il est là, parlez-lui, et demandez-lui de vous ouvrir les yeux et les oreilles pour que vous aussi, vous puissiez l’entendre, et il le fera. Ce sera ensuite un long processus pour qu’il prenne plaisir à siéger en vous, et ça prendra le temps qu’il faudra, mais il le fera, soyez juste patients. Tout dépendra de votre sincérité et de votre détermination à le chercher.

Servante Sylvie

 

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