->L’archéologie et l’histoire de l’homme

Dans cet article, nous allons essayer de comprendre les moyens utilisés par les scientifiques pour dater leur découvertes. Nous verrons aussi dans quelle mesure le scientifique est objectif. Partant de là, nous pourrons évaluer la fiabilité des informations que nous avons reçues des différentes sources médiatiques et scientifiques, afin de nous faire notre propre idée sur l’âge de l’humanité.

1- La méthode de datation par le carbone 14:

La datation par le carbone 14, appelée également datation par le radiocarbone ou datation par comptage du carbone 14 résiduel, est une méthode de datation radiométrique basée sur la mesure de l’activité radiologique du carbone 14 (14C) contenu dans de la matière organique dont on souhaite connaître l’âge absolu, à savoir le temps écoulé depuis sa mort. Elle a été inventée par Willard Frank Libby en 1950, qui reçut 10 ans plus tard le prix Nobel de chimie.

La datation par le carbone 14 est une méthode très utilisée par les archéologues, mais son utilisation présente quelques limites selon Wikipédia :

– l’élément que l’on veut dater doit avoir incorporé du carbone dans des proportions équivalentes à celles de l’atmosphère; elle ne s’applique qu’aux matériaux organiques et pas du tout aux produits minéraux ;

– la méthode s’appuie sur le principe d’actualisme et suppose que le rapport 14C/C est resté constant dans l’atmosphère depuis la mort de l’élément à dater jusqu’à aujourd’hui. Ce rapport varie en fonction des variations climatiques, des champs magnétiques terrestres et solaires. Il est donc très difficile d’avoir un tel rapport constant au fil du temps, cela fausse donc les données obtenues

– la fermeture du système de l’élément à dater est également indispensable; s’il incorpore de nouveaux atomes de carbone après sa mort, le rapport 14C/C est bouleversé et le résultat ne sera pas fiable ;

la quantité de carbone radioactif diminue de moitié tous les 5730 ans, valeur conventionnelle de la période de cet élément ; donc seuls des éléments datant de moins de 50 000 ans au maximum (soit environ huit périodes) présentant une quantité mesurable avec une précision assez bonne peuvent être datés, de plus l’approximation croît en fonction de l’âge des matériaux et les résultats sont approximatifs au-delà de 35000 ans; pour des âges plus anciens, d’autres méthodes sont mises en œuvre comme la datation au potassium-argon ou la datation par le couple rubidium-strontium qui permettent de dater des roches ou la thermoluminescence, qui permet de dater des roches ou des sédiments qui ont été brûlés.

En somme, la méthode de datation au carbone 14 est très imprécise, pas toujours fiable et ne peut pas dater des restes biologiques de plus de 50 000 ans.

2- Les méthodes de datation par le potassium-argon et par le couple rubidium-strontium:

->Selon Wikipédia, la datation par le potassium-argon permet de dater les minéraux des roches métamorphiques et des roches volcaniques. Elle est particulièrement précieuse en archéologie préhistorique, notamment en Afrique de l’Est où les niveaux de cendres volcaniques sont fréquents dans les sites archéologiques. Elle a notamment permis de dater les sites d’Olduvai et les empreintes de pas de Laetoli.

3-La datation par le couple rubidium-strontium est une technique de datation de la formation d’une roche basée sur la mesure de la présence du rubidium et de strontium dans la roche.

Ces 2 dernières méthodes ne peuvent dater que des minéraux de roches volcaniques et métamorphiques. Elles ne peuvent pas servir à dater des restes organiques, comme les restes humains ou animaux. Elles ne peuvent pas non plus dater des roches sédimentaires, roches favorables à la fossilisation. De plus, pour être fiables, les roches datées ici doivent avoir rempli des conditions de cristallisation particulières:

-Le système doit être fermé depuis sa formation, ne doit donc pas avoir été traversé par un fluide,

-Le système doit avoir été cristallisé à partir d’une source commune.

Ces conditions sont difficilement applicables et pratiquement impossibles à vérifier dans la pratique.

Alors sur quoi les archéologues se basent-ils pour donner à Lucie (l’australopithèque le plus ancien) l’âge de 2,5 millions d’années si la méthode de datation au carbone 14 ne va pas au-delà de 50 000 ans? Se basent-ils sur l’âge approximatif de la roche sur laquelle étaient posée le fossile? Cela est fort possible, car nous savons que ce fossile a été retrouvé sur le sol Est Africain qui, à priori, est très volcanique et métamorphique, donc datable conformément aux deux méthodes ci-dessus. Cependant nous verrons plus bas que trouver un fossile sur un sol volcanique ou métamorphique relève de l’exceptionnel, car ce type de sol est très peu favorable au processus de fossilisation.

Nous pouvons donc nous poser la question suivante: la fossilisation est-elle un phénomène suffisamment fréquent pour déduire avec assurance, sur la seule base des quelques fossiles trouvés, l’âge définitif de l’humanité? L’absence d’autres fossiles comme ceux d’Adam, d’Abraham ou de leurs contemporains suffit-il à dire qu’ils n’ont pas existé?

Faut-il déduire de l’absence de preuves paléontologiques l’inexistence de l’homme avant 2,5 millions d’années?

Il faut savoir en outre qu’aucune trace archéologique des grands personnages bibliques de l’ancien testament comme Moïse et David n’ont été retrouvées, mais les autels qu’ils ont érigés à chaque fois pour rendre hommage à leur Dieu ont bien été retrouvés, et les récits d’autres peuples et civilisations, coïncidant avec les récits hébreux, confirmant l’histoire biblique, ont permis d’affirmer avec certitude l’existence de ces personnages.

->Le processus de fossilisation:

Tous les scientifiques sont d’accord pour dire que le processus de fossilisation est un phénomène très rare et très long, qui nécessite la combinaison de plusieurs facteurs. Après sa mort, l’organisme, par sa décomposition va produire des substances qui vont s’allier avec les minéraux des roches environnantes pour former une pellicule dure par minéralisation ou carbonisation, qui va recouvrir complètement la faible emprunte restante de l’organisme. Cependant, ce processus ne peut se faire que sur une roche favorable à la fossilisation.

Les géologues distinguent trois grands types de roches : les roches magmatiques, les roches métamorphiques et les roches sédimentaires.

Comme leur nom l’indique, les roches magmatiques sont issues de la cristallisation d’un magma, soit à grande profondeur (le refroidissement étant lent, nous aurons alors une roche bien cristallisée comme le granite), soit à la surface (c’est le cas des laves volcaniques, qui refroidissent rapidement et qui ne contiennent que peu de cristaux). On imagine aisément que les chances de conservation d’un organisme au sein de ces roches est peu élevée : le magma dissout en effet n’importe quelle cellule qui aurait eu l’audace d’entrer en son contact avec lui.

Comme les roches magmatiques, les roches métamorphiques n’offrent pas des conditions idéales pour la préservation de fossiles. On appelle roche métamorphique toute roche (magmatique ou sédimentaire) qui se retrouve soudain exposée à des conditions de température et de pression différentes de celles qui ont présidé à sa formation. Les différences de température et de pression vont rendre instables les minéraux constituants la roche : certains vont disparaître, tandis que d’autres espèces minérales vont se former. L’agencement des minéraux entre eux est également modifié. Ces modifications chimiques et texturales, qui ont toujours lieu à l’état solide (sauf dans les cas extrêmes de métamorphisme où la roche commence à fondre), vont profondément affecter la roche. Si cette dernière contenait des fossiles, ceux-ci peuvent devenir méconnaissables.

Les roches sédimentaires sont donc la cible prioritaire pour la recherche de fossiles. Mais là encore, elles doivent remplir de nombreuses conditions:

-le matériau rocheux doit avoir une perméabilité faible (de manière à éviter les échanges avec un fluide qui pourrait suinter à travers le lit rocheux et altérer la roche). La roche ne doit pas avoir été enterrée trop profondément, ni soumise à un flux de chaleur trop important (le but étant d’éviter les dégâts causés par les hautes pressions et les cuissons trop importantes qui conduisent comme nous l’avons vu à une métamorphisation). Cette roche devra être stable et résistante chimiquement, en d’autres termes elle devra offrir un temps de résidence crustale très long (par résidence crustale, les géologues entendent la capacité de la roche à rester dans la croûte). C’est ce que nous explique le site nirgal.net.

De plus, pour que la minéralisation se fasse sur une roche sédimentaire, il faut selon Futura-sciences, la combinaison des deux facteurs suivants :

– il faut un taux de sédimentation important là où l’organisme meurt, ce qui favorise un enfouissement rapide de son cadavre ; Il faut donc un ensevelissement rapide du cadavre. Sauf catastrophe naturelle, il est donc difficile qu’un animal soit enseveli immédiatement après sa mort.

-il faut également que la dépouille soit ensevelie dans un milieu anoxique (sans oxygène), car cela limite la dégradation des tissus par les décomposeurs (bactéries et autres), ce qui laisse le temps à la fossilisation de s’opérer.

En somme, s’il est déjà extrêmement rare de trouver des fossiles d’animaux, vous pouvez imaginer qu’il est encore plus difficile de trouver des fossiles humains, étant donné que, contrairement aux animaux, celui-ci a des pratiques funéraires pour pleurer ses défunts, qui ne sont pas favorables à la fossilisation.

Donner un âge à l’humanité sur la seule base de restes humains s’avère donc définitivement impossible, car le corps humain est appelé à se dégrader et à disparaître complètement dans la nature.

Nous ne pouvons donc pas affirmer que l’homme est âgé seulement de 2,5 millions d’années pour deux raisons:

-cet âge est loin d’être précis, les méthodes de datations actuelles, comme nous l’avons vu plus haut sont trop imprécises et aléatoires;

-il est naturellement peu probable que nous trouvions suffisamment de restes humains pour tracer toute l’histoire de l’humanité, car la chair est appelée à disparaître complètement et le processus de fossilisation est un processus exceptionnel et long.

->L’objectivité du scientifique

En plus des moyens dont nous disposons pour effectuer les recherches et les fouilles archéologiques, et même si la science en elle-même est objective, nous nous demandons malheureusement si le scientifique peut toujours être objectif.

Le scientifique est un homme comme les autres, avec 3 façons de penser possibles:

-non croyant et ouvert à de nouvelles théories permettant la vérification des faits bibliques,

-non croyant, anti-créationniste et fermé à toute coïncidence possible entre la science et la bible. Son interprétation et la publication de la découverte pourrait ainsi manquer d’objectivité.

-croyant et déterminé à prouver que les faits bibliques sont vérifiables; celui-ci cherchera même des concordances là où il n’y en a pas. Ainsi avons-nous vu plusieurs chercheurs prétendre avoir trouvé des restes de l’arche de Noé, ou d’autre prétendre avoir trouvé des traces de pas humains datant de plusieurs dizaines de millions d’années.

Je ne rajouterai pas la catégorie croyant et fermé à toutes nouvelles théories scientifiques qui pourraient détruire tous les fondements de sa pensée, car ce ne serait pas un scientifique, mais un fanatique.

De plus, les recherches scientifiques sont financées, soit par des organismes étatiques athées ou laïques, soit par des organismes adhérant à certaines croyances ou religions. Cela veut dire qu’il peut arriver que le chercheur fasse des découvertes qui n’arrangent pas l’organisme de financement, si cet organisme n’est pas disposé à accepter le bouleversement de toutes les notions qui avaient fait jusque-là son fondement. Dans une telle situation, vous comprendrez que ces recherches ne seront jamais publiées – de peur de perdre toute crédibilité ou tout avantage financier – et que tout sera mis en oeuvre pour préserver le secret de cette découverte. Nous osons espérer que cela n’est pas encore arrivé, mais vous conviendrez avec nous que ce cas de figure n’est pas impossible.

C’est pourquoi il est toujours important de connaitre la sources des informations, et de se poser la question sur l’objectivité de cette source. Il y’a donc beaucoup de paramètre a prendre en compte.

En somme, nous ne pouvons donc pas baser notre connaissance du monde sur les seules informations scientifiques publiées. De plus, il faudrait avoir accès à l’intégralité des publications et comprendre toutes ces découvertes scientifiques, car nous basons souvent notre jugement sur des connaissances partielles que nous croyons complètes.

Que faire donc face à toutes ces difficultés à accéder à la connaissance objective?

Seul l’Esprit de Dieu peut nous donner le discernement pour nous faire notre propre idée et découvrir la Vérité dans tout ce flux d’informations venant de toutes parts.

-> La science est-elle de Dieu ?

En lisant Genèse 1, nous nous rendons compte que Dieu, en créant les astres et les étoiles, leur donne un certain pouvoir sur la terre (cf enseignements sur Genèse 1). Partant de là, nous comprenons mieux les fondement de l’astrologie et de l’astronomie, etc…

La science est de Dieu, c’est lui qui inspire les chercheurs pour nous permettre d’améliorer notre quotidien et d’accéder à la vérité. La vérité quant à elle se laisse trouver par ceux qui la cherchent. Les grandes inventions n’ont- elles pas souvent été faites par « hasard » ? Seulement, lorsqu’on connait Dieu, on se rend compte que le hasard n’existe pas, mais que c’est un concours de circonstances que nous n’avions pas prévu.

La preuve biblique du fait que les scientifiques sont des hommes que Dieu met en avant pour faire des grandes découvertes est l’histoire des rois mages, astronomes qui passaient le temps à scruter le ciel pour ne pas rater l’arrivée du Messie. Ils n’étaient pas juifs, mais leur foi en Dieu associée à leur science leur a permis d’être les premiers à voir le Dieu vivant.

Le scientifique qui comprend qu’il est minuscule face à cet univers, et que seul Dieu pourra lui faire la grâce de recevoir des révélations sera comme un prophète de Dieu, et fera des grandes découvertes.

->25 grands savants qui ont affirmé leur foi

1-Johannes Kepler (1571-1630), un des plus grands astronomes :

-« Gloire à Dieu notre Seigneur, Son pouvoir et sa Sagesse n’ont pas de limite » (cité dans «Johannes Kepler, un Géant de la foi et de la science» (1977) de J. H. Tiner, p. 178)

-« Nous voyons maintenant comment Dieu, tout comme un architecte, a créé le monde avec une telle précision et minutie » (cité dans «Johannes Kepler, un Géant de la foi et de la science» (1977) de J. H. Tiner, p. 193)

2- Copernic (1473- 1543), fondateur de la mondovision moderne : « Le fait de connaître les œuvres grandioses de Dieu, d’essayer de comprendre Sa sagesse, Sa majesté et Son pouvoir et d’apprécier d’une certaine manière le fonctionnement de ses lois, est certainement une manière d’adorer Dieu, pour qui l’ignorance ne peut pas être plus reconnaissant que la connaissance » (cité dans «les chevaliers parmi les nations» (1907) de Louis E. Van Norman, p. 290)

3- Isaac Newton (1643- 1727) fondateur de la physique théorique classique :

« Ce système si merveilleux qui est l’univers avec le soleil, les planètes et les comètes ne peut que provenir de la volonté et du pouvoir d’un être intelligent…Cet être gouverne toute chose et pas seulement le monde. Reconnaissant son pouvoir sur toute chose, on se doit de l’appeler «Seigneur Dieu» ou «Le souverain universel»…Ce Dieu suprême est un être éternel, inifini et absolument parfait ». (Isaac Newton, Principia, livre N°3, cité dans «Une selection des écrits de Newton» de H.S. Thayer,p.42)

4- Galilée (1565-1642) Grand physicien, mathématicien et astronome italien, le fondateur de la physique expérimentale moderne.

« Lorsque je médite sur toute les choses merveilleuses que les êtres humains ont saisi, recherché, et fait, j’ai tendance à reconnaître encore plus clairement que l’intelligence humaine ne peut qu’être le résultat d’un Créateur ». (Cité dans «Galileo Galilei» de Paul Poupard, p 101)

5-Volta (1745- 1827), connu pour ses travaux sur l’électricité : « Je confesse la foi sainte, apostolique, catholique et romaine. Je remercie Dieu de m’avoir accordé cette foi, dans laquelle j’ai la ferme intention de vivre et de mourir. «

6-Ampère (1775- 1836), inventeur des lois fondamentales des courants électriques :

« Que Dieu est grand ! Que Dieu est grand et que notre savoir n’est rien ! «

7-Cauchy (1789- 1857) illustre mathématicien :  » Je suis chrétien, je crois en la divinité du Christ, comme tous les grands astronomes, tous les grands mathématiciens du passé. «

8-Gauss (1777-1855), un des plus grands mathématiciens et scientifiques allemands:

« Lorsque notre dernière heure aura sonné, ce nous sera une joie indicible de voir disparaître le voile épais qui couvrait nos yeux. «

9-Liebig (1803- 1873), pionnier de la chimie appliquée :

« Celui qui s’efforce de lire les pensées de Dieu dans le grand livre de la nature peut seul connaître sa grandeur et sa sagesse infinies. «

10-Robert Mayer (1814- 1878), scientifique naturaliste (Loi de la Conservation de l’énergie) :

« J’achève ma vie avec une conviction qui jaillit du plus profond de mon cœur: la véritable science et la véritable philosophie ne peuvent être autre chose qu’une propédeutique de la religion chrétienne. «

11-Secchi (1803- 1895), célèbre astronome :

« De la contemplation du ciel à Dieu, la route n’est pas longue. ”

12-Darwin (1809- 1882), théoricien de l’évolution :

« Jamais je n’ai nié l’existence de Dieu. Je crois à la théorie de l’évolution parfaitement conciliable avec la foi en Dieu. Il est impossible de concevoir et de prouver que le splendide et infiniment merveilleux univers, de même que l’homme, soit le résultat du hasard ; et cette impossibilité me semble la meilleure preuve de l’existence de Dieu. «

13-Edison (1847- 1931), l’inventeur le plus fécond, avec 1200 brevets : “J’admire tous les ingénieurs, mais surtout le plus grand d’entre eux : Dieu. ”

14-C.L. Schleich (1859- 1922), célèbre chirurgien.

« Je suis devenu croyant à ma façon par le microscope et par l’observation de la nature, et mon désir est de contribuer au mieux à unir la science et la religion. «

15-Marconi (1874- 1937), inventeur de la télégraphie sans fil, Prix Nobel 1909 :

« Je le déclare avec fierté : je suis croyant. Je crois à la force de la prière, non seulement en tant que chrétien, mais aussi comme scientifique. ”

16-Millikan (1868- 1953), illustre physicien américain Prix Nobel 1923 :

«Je peux affirmer catégoriquement que l’incroyance est dépourvue de tout fondement scientifique. J’estime qu’il n’existe aucune contradiction entre la foi et la science.”

17-Eddingtong (1882- 1946), célèbre astronome anglais :

«Aucun des inventeurs de l’athéisme ne fut un homme de science Tous ne furent que de très médiocres philosophes. »

18-Albert Einstein (1879- 1955), fondateur de la physique contemporaine (théorie de la relativité et prix Nobel 1921) :

« Quiconque est sérieusement impliqué dans la science devient convaincu qu’un esprit se manifeste dans les lois de l’univers – un esprit infiniment supérieur à celui de l’homme, et devant lequel, nous avec nos pauvres pouvoirs, devons nous sentir humbles. »

19-Plank (1858- 1947), créateur de la théorie des quanta, prix Nobel 1918 :

« Rien ne nous empêche donc et notre instinct scientifique exige… d’identifier l’ordre universel de la science et le Dieu de la religion. Pour le croyant, Dieu se trouve au début; pour le physicien, Dieu se rencontre au terme de toute pensée. «

20-Schrödinger(1887- 1961), créateur de la mécanique ondulatoire, Nobel 1933 :

« Le plus beau chef d’œuvre est celui fait par Dieu, selon les principes de la mécanique quantique… »

21-Howard Hathaway Aiken (1900-1973), père du cerveau électronique :

« La physique moderne m’apprend que la nature est hors d’état de s’ordonner elle-même. L’univers présente un ordre immense, d’où la nécessité d’une grande « Cause Première » qui n’est pas soumise à la loi seconde de la transformation de l’énergie, et qui donc est Surnaturelle. «

22-Wernher Von Braun (1912- 1977), fabricant allemand-américain de fusées spatiales :

« Par-dessus tout à Dieu revient l’honneur d’avoir créé le grand univers, que l’homme et sa science pénètrent et étudient de jour en jour avec une profonde adoration. »”

23-Charles Townes (1915), physicien. Il partagea le Prix Nobel de physique 1964 avec les physiciens russes pour découvrir le principe du laser :

« En tant que religieux, je ressens fortement la présence et les actions d’un Etre créateur qui va au-delà de moi-même, mais qui est toujours proche …l’intelligence a eu quelque chose à voir avec la création des lois de l’univers. »”

24- Allan Sandage (1926-2010),Astronome professionnel, a calculé la vitesse d’expansion de l’univers ainsi que l’âge de l’univers par l’observation des étoiles lointaines :

« Enfant, j’étais athée. C’est ma science qui m’a conduit à la conclusion que le monde est bien plus compliqué que ce qui peut être expliqué par la science. Ce n’est que par l’intermédiaire du surnaturel que je comprends le mystère de l’existence. «

25- Louis Pasteur (1822-1895)

-« Plus j’étudie la nature et plus je suis émerveillé par les travaux de Notre Créateur. La science me ramène plus proche de Dieu » (Louis Pasteur, cité dans un livre de John Hudson Tiner «Louis Pasteur, fondateur de la medecine moderne», 1990).

-« Un peu de science vous éloigne de Dieu. Beaucoup vous y ramène ».(Louis Pasteur, cité dans «Dieu et la science» de Jean Guitton, 1991)

La liste de savants croyants est longue, nous ne les citerons pas tous. Vous pouvez revoir ces citations sur http://www.aleteia.org/fr/science/article/quand-25-savants-illustres-confessent-leur-foi-en-dieu

->Les événements et personnages bibliques sont-ils vrais?

1 – Adam et le jardin d’Eden

La situation géographique du jardin d’Eden est indiquée assez clairement dans la bible, et semble se situer vers l’Est de l’Afrique.

Genèse 2: 11-14: « Un fleuve sortait d’Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras. Le nom du premier est Pischon; c’est celui qui entoure tout le pays de Havila, où se trouve l’or. L’or de ce pays est pur; on y trouve aussi le bdellium et la pierre d’onyx. Le nom du second fleuve est Guihon; c’est celui qui entoure tout le pays de Cusch. Le nom du troisième est Hiddékel; c’est celui qui coule à l’orient de l’Assyrie. Le quatrième fleuve, c’est l’Euphrate. »

Bien sûr, avec tous les bouleversements géographiques, climatiques et géologiques qu’a connu la terre depuis, il est très difficile de le retrouver, et nous ne pensons même pas que nous disposons aujourd’hui des moyens techniques et scientifiques nécessaires pour en retrouver les traces.

2 – L‘arche de Noé

Genèse 8: 4 « Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l’arche s’arrêta sur les montagnes d’Ararat. »

Or ce mont Ararat se trouve en Turquie (sur un territoire anciennement arménien). Les indications bibliques ici sont assez précises quant au lieu où l’arche s’est arrêtée. De nombreux scientifiques ont prétendu avoir trouvé les restes de l’arche, mais aucune de leurs découverte n’a été validée par la communauté internationale, pour les raisons évoquées plus haut sur l’objectivité du scientifique et des organismes de la communauté internationale.

3-La tour de Babel

L’archéologue allemand Robert Koldewey a découvert le 26 mars 1899 les murailles de l’antique ville de Mésopotamie (cf Wikipédia). Cependant, il a été démontré que le roi Nabuchodonosor l’avait re-construite entre 605 et 562 avant JC (cf. Les villes retrouvées, de Georges Hanno – 1881).

Mais à ce jour, la datation de cette tour est malheureusement trop souvent confondue à la date de sa reconstruction par Nabuchodonosor. Au jour d’aujourd’hui, les scientifiques n’ont pas encore été capables de donner l’âge de ce monument, soit parce que les moyens techniques ne le permettent pas, soit encore une fois pour les raisons évoquées plus haut sur l’objectivité du scientifique.

En outre, selon Wikipédia, cette tour, présentée dans la bible comme « permettant de toucher le ciel » n’a rien à voir avec les description biblique, simplement parce que la construction de Nabuchodonosor ne faisait que 90 mètres de hauteur, et n’aurait donc jamais pu « toucher le ciel » comme annoncé dans la bible. Mais il faut savoir que la reconstruction entreprise par Nabuchodonosor est approximative, et ne peut se rapprocher que de loin de l’original, étant donné que même ses premiers bâtisseurs venaient à peine de commencer l’ouvrage lorsque Dieu les a dispersés. Le chantier des petits-fils de Noé était donc loin d’être terminé, et nous ne pouvons pas savoir à quoi la tour de Babel aurait ressemblé une fois terminée. De plus, ignorant tout de leurs techniques de constructions, comment pouvons-nous imaginer la taille définitive qu’aurait eu cette tour? Sommes-nous seulement capables aujourd’hui de donner la technique utilisée par nos ancêtres pour ériger les dolmens, ces gigantesques pierres polies superposées qui servaient probablement de monument funéraire? NON, Cela nous dépasse encore! Alors nous ne pouvons pas savoir comment Nimrod et ses frères auraient pu construire cette tour, ni quelle hauteur elle aurait eu exactement!

Image de Ddolmen

*L’histoire biblique de la tour de Babel (Genèse 11):

Elle était la manifestation de l’orgueil des hommes qui avaient cru pouvoir égaler Dieu. Les koushites en effet étaient tellement fameux et puissants qu’ils crurent qu’ils pouvaient fabriquer une tour qui leur permettrait d’atteindre les cieux. Voyant cela, l’Eternel sema la division parmi les hommes pour détruire leur plan et les empêcher de mener ce projet à son terme, en leur faisant parler des langues différentes et en les dispersant sur la terre, afin qu’ils ne se comprennent plus entre eux.

Genèse 11:8-9 « L’Eternel les dispersa loin de là sur toute la surface de la terre. Alors ils arrêtèrent de construire la ville. C’est pourquoi on l’appela Babel: parce que c’est là que l’Eternel brouilla le langage de toute la terre et c’est de là qu’il les dispersa sur toute la surface de la terre. »

Ce passage pourrait donc nous aider à comprendre quand et pourquoi le continent unique nommé par les scientifique « Pangée » a éclaté en plusieurs continents.

Cette théorie de la dislocation de la Pangée, aujourd’hui validée scientifiquement, a été émise par l’astronome climatologue allemand Alfred Wegener qui a publié en 1915 la première édition de son livre La Genèse des continents et des océans. Le schéma ci-dessous dessiné par Alfred Wegener nous montre comment les plaques continentales se sont séparées progressivement de l’Afrique, seul continuent à ne pas avoir bougé.

Etant entendu que les Koushites ont occupé l’Egypte, l’Ethiopie et la Babylonie, si nous comparons les vestiges des anciennes cités Maja, Incas et Aztèques (autochtones des Amériques), et ceux de l’ancienne Egypte, nous constaterons des similitudes avec la civilisation Égyptienne. Ainsi verrons-nous des pyramides, des ustensiles d’Astrologie, et des traces matérielles d’intelligence que notre civilisation n’a même pas encore été capable de reproduire, tant ils étaient en avance dans la connaissance.

Or Wikipédia nous dit ceci sur la civilisation antique égyptienne: « La civilisation de l’Égypte antique prend forme autour de -3150 avec l’unification politique de la Haute-Égypte au sud et de la Basse-Égypte au nord sous le règne du premier roi et se développe sur plus de trois millénaires ». Cette affirmation semble limiter le début de la civilisation égyptienne à la création du premier royaume Egyptien, soit 3000 ans avant Jésus Christ. Or ce découpage dans le temps correspond à la période de captivité des hébreux en Egypte, et à leur libération avec Moïse. Nous comprenons donc que c’est le recoupage avec les écrits hébreux qui a permis cette datation. Mais qu’en était-il de cette civilisation avant cette période? A-t-elle apparu d’un seul coup avec un roi? Les civilisations ne mettent-elles pas du temps avant de se mettre en place?

Nous avons donc la preuve de l’existence d’une civilisation égyptienne très ancienne sans datation précise. Or, en allant sur le continent sud-américain, les civilisations des indiens d’Amériques semblent plus récentes selon les scientifiques (datant de 1500 à 500 ans avant J.C), avec des vestiges similaires aux vestiges égyptiens, laissant penser que ces peuples ont eu un savoir-faire commun. Or comment ces peuples ont-ils pu être en contact, si ce n’est avant le démembrement du continent africain du sud-américain il y’a 120millions?

Pyramide Egyptienne

Pyramide Maja

Nous pouvons donc en conclure que ces civilisations ont cohabité à un moment donné de leur histoire avec le même savoir-faire, mais elles se sont ensuite séparées à la suite de l’éclatement de la terre. A cela nous pouvons rajouter au regard de ce qui a été dit plus haut sur les moyens de datation, que la datation de ces pyramides d’Amérique latine n’est pas certaine non plus. Nous voyons donc que Christophe Colomb, qui croyait avoir découvert l’Amérique, avait atterri sur un continent qui avait déjà vu se développer et décroitre des civilisations très anciennes. Sa découverte n’en était une que pour son peuple, mais n’était pas une découverte en elle-même dans l’absolue.

En conclusion, il nous est quasiment impossible de donner un âge à l’humanité, à cause des moyens de datation imprécis dont nous disposons, de l’objectivité du scientifique qui ne peut pas toujours être vérifiée, et de l’instabilité de la matière organique qui compose le corps humain, l’amenant à disparaître naturellement dans la nature, sauf cas extrêmement rare et aléatoire de fossilisation. Dieu n’a-t il pas dit à Adam « tu es poussière et tu retourneras poussière » ?

A l’heure actuelle, nous sommes encore incapables de dater de nombreuses découvertes que nous avons sous la main, et devons encore découvrir suffisamment de traces archéologiques pour pouvoir mieux comprendre l’histoire de l’humanité.

Par contre, l’échelle des temps géologiques semble déjà plus cohérente avec la bible, puisqu’elle nous décrit la formation progressive de la terre, des continents, de la vie sur la terre qui s’est complexifiée dans la durée; les organismes animaux et végétaux semblables à ceux que nous avons aujourd’hui se sont développés avec la formation de la Pangée, lorsque la croute terrestre avait pris sa forme définitive après les différentes explosions géologiques que la terre avait connues avant. En effet, d’autres continents se sont formés avant la pangée, puis ont disparu car la terre était encore instable, en pleine mutation et inhabitable par le règne animal et végétal que nous connaissons actuellement: les lois cosmiques se mettaient encore en place. Encore une fois, nous vous renvoyons à l’article sur la notion de temps dans la bible et à la lecture du livre 1 de la Genèse, pour comprendre à quoi correspondent les 6 jours bibliques de création du monde, et quelle est la cohérence entre chacun de ces jours et les grand phénomènes cosmiques et archéologiques qu’ont connu la terre.

Soyez bénis par cet enseignement!

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